- EAN13
- 9782264080196
- ISBN
- 978-2-264-08019-6
- Éditeur
- 10-18
- Date de publication
- 18/08/2022
- Collection
- Littérature étrangère (1)
- Nombre de pages
- 240
- Dimensions
- 17,8 x 11 x 1 cm
- Poids
- 136 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Nous vivions dans un pays d'été
De Lydia Millet
Traduit par Caroline Bouet
10-18
Littérature étrangère
Offres
-
8.30
Alors qu'une tempête menace, des adolescents se retrouvent livrés à eux-mêmes. " Ce roman se lit comme un livre d'aventures, mais tape aussi fort qu'un discours de Greta Thunberg. Un tour de force. " ELLE
Une grande maison de vacances au bord d'un lac. Cet été-là, cette maison est le domaine de douze adolescents à la maturité étonnante et de leurs parents qui passent leurs journées dans une torpeur où se mêlent alcool, drogue et sexe. Lorsqu'une tempête s'abat sur la région et que le pays plonge dans le chaos, les enfants - dont Eve, la narratrice - décident de prendre les choses en main. Ils quittent la maison, emmenant les plus jeunes et laissant derrière eux ces parents apathiques qu'ils méprisent et dont l'inaction les exaspère autant qu'elle les effraie.
" Allégorie transparente de ce que nous traversons, ce roman se lit comme un livre d'aventures, mais tape aussi fort qu'un discours de Greta Thunberg. Un tour de force narratif et militant. " ELLE
" Le propos de Lydia Millet est à la fois brillant, insolent et raisonné. " Les Echos
" Lydia Millet décrit avec mordant la complaisance des adultes face à l'apocalypse et la juste colère des plus jeunes. " The New Yorker
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Carole Bouet
Une grande maison de vacances au bord d'un lac. Cet été-là, cette maison est le domaine de douze adolescents à la maturité étonnante et de leurs parents qui passent leurs journées dans une torpeur où se mêlent alcool, drogue et sexe. Lorsqu'une tempête s'abat sur la région et que le pays plonge dans le chaos, les enfants - dont Eve, la narratrice - décident de prendre les choses en main. Ils quittent la maison, emmenant les plus jeunes et laissant derrière eux ces parents apathiques qu'ils méprisent et dont l'inaction les exaspère autant qu'elle les effraie.
" Allégorie transparente de ce que nous traversons, ce roman se lit comme un livre d'aventures, mais tape aussi fort qu'un discours de Greta Thunberg. Un tour de force narratif et militant. " ELLE
" Le propos de Lydia Millet est à la fois brillant, insolent et raisonné. " Les Echos
" Lydia Millet décrit avec mordant la complaisance des adultes face à l'apocalypse et la juste colère des plus jeunes. " The New Yorker
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Carole Bouet
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