- EAN13
- 9782344018804
- ISBN
- 978-2-344-01880-4
- Éditeur
- Glénat BD
- Date de publication
- 05/02/2020
- Collection
- 24X32 (1)
- Séries
- Retour de flammes (1)
- Nombre de pages
- 64
- Dimensions
- 32 x 24 x 1,2 cm
- Poids
- 680 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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1 - Retour de flammes / Premier rendez-vous
Premier rendez-vous
Dessins de Alicia Grande
De Laurent Galandon
Glénat BD
24X32
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Le cinéma est une arme de guerre.
Paris, sous l’Occupation, septembre 1941. Un incendie dans le cinéma Le Concordia détruit la pellicule d’un film de propagande nazi. Chargé de résoudre l’affaire, le commissaire français Engelbert Lange découvre sur les lieux qu’il est surveillé par la Gestapo. Car c’est la deuxième fois qu’un acte similaire est perpétré dans la capitale, les autorités allemandes prennent donc la chose très au sérieux : la piste terroriste est privilégiée. Son enquête va conduire Lange dans le monde du 7e Art. Il va découvrir l’intensité créatrice et le vent de liberté qui subsistent dans un Paris sous tension. Mais entre la pression de ses supérieurs et celle de l’occupant, il va surtout devoir rendre des comptes... et voir resurgir de vieux démons.
À travers ce polar historique bien ficelé et dessiné par la prometteuse Alicia Grande, Laurent Galandon nous fait arpenter les rues d’un Paris occupé où le cinéma peut aussi bien servir à contester le pouvoir qu’à le maintenir. Une enquête en deux volumes.
Paris, sous l’Occupation, septembre 1941. Un incendie dans le cinéma Le Concordia détruit la pellicule d’un film de propagande nazi. Chargé de résoudre l’affaire, le commissaire français Engelbert Lange découvre sur les lieux qu’il est surveillé par la Gestapo. Car c’est la deuxième fois qu’un acte similaire est perpétré dans la capitale, les autorités allemandes prennent donc la chose très au sérieux : la piste terroriste est privilégiée. Son enquête va conduire Lange dans le monde du 7e Art. Il va découvrir l’intensité créatrice et le vent de liberté qui subsistent dans un Paris sous tension. Mais entre la pression de ses supérieurs et celle de l’occupant, il va surtout devoir rendre des comptes... et voir resurgir de vieux démons.
À travers ce polar historique bien ficelé et dessiné par la prometteuse Alicia Grande, Laurent Galandon nous fait arpenter les rues d’un Paris occupé où le cinéma peut aussi bien servir à contester le pouvoir qu’à le maintenir. Une enquête en deux volumes.
Commentaires des lecteurs
Cinéphile pyromane
En 1941, dans le Paris occupé, un mystérieux pyromane incendie des bobines de films allemands, semant le trouble dans les plus hautes sphères de la Gestapo. Le commissaire Lange est chargé d'élucider l'affaire et de retrouver le criminel, mais la ...
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