- EAN13
- 9782383610168
- Éditeur
- Globe
- Date de publication
- 06/10/2021
- Langue
- français
- Langue d'origine
- castillan, espagnol
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
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Papier - Globe 22,00
Il y a vingt ans, la veille de Noël, mon meilleur ami a tué sa sœur et s’est
jeté dans un ravin. Vingt ans après, alors que l’affaire a été classée, que
toutes les questions sont restées sans réponse, et que le secret est devenu
énigme, Miguel Ángel Hernández revient sur les lieux du crime. Que
cherche-t-il ? À se réconcilier avec le jeune homme emprunté qu’il était alors
? À connaître enfin la vérité ? À rendre justice à son ami Nicolàs ? Son
enquête déterre les racines et réveille le passé qu’il a voulu fuir toute sa
vie : une enfance marquée par l’Église catholique et le poids du péché ;
l’omniprésence de la maladie et de la mort ; derrière la splendeur du
paradisiaque Verger de citronniers, un enfer d’oppression et de fermeture. «
On ne gagne pas toujours à écrire, dit-il, parfois aussi on fait naufrage face
à la douleur des autres. » Pourtant son récit, où alternent roman policier et
réflexions autobiographiques, est aussi l’occasion d’éprouver une troublante
nostalgie, et d’expérimenter le pouvoir d’émancipation de la littérature face
à l’horreur et à l’incompréhension.
jeté dans un ravin. Vingt ans après, alors que l’affaire a été classée, que
toutes les questions sont restées sans réponse, et que le secret est devenu
énigme, Miguel Ángel Hernández revient sur les lieux du crime. Que
cherche-t-il ? À se réconcilier avec le jeune homme emprunté qu’il était alors
? À connaître enfin la vérité ? À rendre justice à son ami Nicolàs ? Son
enquête déterre les racines et réveille le passé qu’il a voulu fuir toute sa
vie : une enfance marquée par l’Église catholique et le poids du péché ;
l’omniprésence de la maladie et de la mort ; derrière la splendeur du
paradisiaque Verger de citronniers, un enfer d’oppression et de fermeture. «
On ne gagne pas toujours à écrire, dit-il, parfois aussi on fait naufrage face
à la douleur des autres. » Pourtant son récit, où alternent roman policier et
réflexions autobiographiques, est aussi l’occasion d’éprouver une troublante
nostalgie, et d’expérimenter le pouvoir d’émancipation de la littérature face
à l’horreur et à l’incompréhension.
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